Je suis sure que vous avez cliqué juste pour vous rincer l'oeil, espèces de petits pervers !

Avant

J'entre dans la maison, la main dans celle de Neal, en pouffant. Je referme la porte, puis me retourne, et me serre contre Neal. Je lui lance un regard malicieux. Puis je pose doucement mes lèvres sur les siennes. Je lui lance, ironique et suppliante :
- Qu'est-ce que je fais encore habillée, mon chou ?
J'aime bien le provoquer. Il est tellement mignon quand il se vexe. Adorable. Vraiment.
Je repose mes lèvres sur les sienne, et mets mes mains derrière sa nuque, histoire de ne pas le laisser s'échapper. Même si je doute qu'il le fera.

Nous arrivons chez Léna, main dans la main, comme deux amoureux. Depuis quelques minutes déjà, la propriétaire de la battisse pouffe comme une cruche, pourtant, je ne l'ai pas saoulée... Elle referme la porte d'un coup de hanche et se blottie contre moi. Pour m'embrasser, elle se met sur la pointe des pieds. C'est sur, avec son petit mètre 75.. Elle me fait, avec un mélange ironique et.. suppliant ? :
- Qu'est-ce que je fais encore habillée, mon chou ?
Elle repose ses lèvres sur mes miennes, je lui fais un sourire lupin puis je réponds :
- Tu aimes la vitesse, pour toi, je vais y aller trèèès, mais trèès, lentement.
Oh, I'm Bad, it's so Good. Je ris et le pousse sur le canapé. Je couvre son visage de baiser papillon tout en retirant, lentement bien sur, son blouson.

- Tu aimes la vitesse, pour toi, je vais y aller trèèès, mais trèès, lentement.
Je grogne. Putain, il sait ça, lui ? Bordel, il faut que je tienne ma langue, la prochaine fois. Il me pousse sur mon beau canapé en cuir blanc, qui lui est glacé. Neal embrasse mon visage, et je ne peux que l'encourager en poussant des petits cris de plaisir. Il commence à m'enlever ma veste, mais trèèès lentement, comme il me l'a dit. Je grogne, de frustration cette fois.
Pour lui montrer mon mécontentement, je tire sur sa chemise tachée de sang, et fais sauter les boutons. Il se retrouve donc torse nu devant moi. Enfin, sur moi. Je commence à ouvrir son jean. Héhé, il va mourir de froid, avec le canapé et le chauffage au minimum, si il continue comme ça ! Moi, sadique ?
Je ris.

Oh la salope, ma chemise, ma si belle chemise... Elle rit en plus, la cruche ! Je grogne.
Mon torse est pale, comme le reste de mon corps, finement musclé mais emplit de cicatrice, de marques, de brulures. Certains aiment, d'autres non.
Elle entame de retirer mon jean, je souris. Je retire son haut, un peu moins lentement, en faisant bien exprès de glisser mes mains sur sa peau dorée. Je m’humecte les lèvres, appréciant le spectacle. Léna porte un soutient-gorge, noir, à dentelle. J'adore. Je me penche sur elle -sans l'écraser, j'ai le coup de main- et je l'embrasse sur le bout du nez, joueur.

J'arrive pas à lui enlever entièrement le jean. Merde. Bon, je laisse tomber, alors.
Je me mets à embrasser son torse, et à suivre doucement une de ses cicatrices du bout de la langue. Puis je lève les jambes, et les enroulent autour de sa taille, m'appuyant contre lui. Je m'excite toute seule rien qu'en pensant à ce qu'on pourrait faire ensemble, ce soir. A ce qu'il pourrait me faire. En fait, je le suis déjà. Excitée.
Je remonte ma bouche à la sienne, léchant sa peau, et laissant un sillon humide sur son cou. Je souris.
- Tu sais, à ce train là, je vais mourir de vieillesse.
J'espère qu'il ne le prendra pas mal !

Elle me file la trique en me léchant ainsi, elle lâche :
- Tu sais, à ce train là, je vais mourir de vieillesse.
Je fais, légèrement irrité :
- T'inquiète, je compte pas baiser une vieille.
Je m'en fout de la blesser, elle me tape sur les nerfs. Je lui fais un succion dans le cou, dégrafant son soutif' d'une main experte que je jette plus loin. But ! pile sur la TV ! Bref. Mes mains s'égarent quelques minutes sur ses seins parfait. L'une descend petit à petit, déboutonnant le jean de Léna, pressée. Je lui baisse, je ne prend le temps de la faire languir que j'enlève déjà son string... minutes, depuis quand Léna porte des strings ? Je lui demanderais plus tard. Ma main la caresse en doucement, je retrouve mon sourire de chat et je fais :
- Léna, tu es déjà toute mouillée..
Je suis un Dieu.

- T'inquiète, je compte pas baiser une vieille.
La remarque me blesse légèrement. Je fronce les sourcils. Il m'enlève mon soutien-gorge, et le balance n'importe où. Je note qu'il atterri pile sur ma belle télé écran plat dernier cri. Il me caresse quelque temps, avant de m'enlever mon jean et mon string. Et voilà. Je suis nue. Il me sort :
- Léna, tu es déjà toute mouillée..
Je lui jette un regard malicieux :
- T'as vu comme je sais bien m'exciter toute seule ? Je savais que mes années d'entrainement serviront à quelque chose.
Je souris. C'est à mon tour de lui enlever son boxer bien moulant. On est tout les deux à poil. Je ne sais pas d'où ça me vient, mais j'ai envie de crier : "TOUS A POIL !!". Mais je m'abstiens, je vais passer pour une folle sinon. Je n'ai pas envie de le faire partir en courant en si bon chemin. Ce serait dommage.

Héhé mes pervers préférés ! Et non, vous n'aurez rien de croustillant à vous mettre sur la dent, car j'annonce que ce rp est officiellement terminé. Du moins pour cette journée là. Nos deux tourtereaux ont passé une nuit d'enfer, ils se sont bien éclatés. La suite au prochain épisode !

Après