Atrayau.. Attrape-moi.. un nom comme ça. Elle me fait sursauter en me demandant :
- Tu cherches un sac ?
Comment le sait-elle ? Mes joues rosissent légèrement, comprenant que j'ai parlé à voix haute.
- Euh.. bah.. ouais.
THE réponse, je m'améliore de jour en jour.

Il avait l'air de chercher quelque chose. Atreiyu commença a comprendre, il n'avais pas prononcer son prénom une seule fois. Elle dit :

- Atreiyu. [ Hors RP sa se prononce Atréyu ]

Elle eu un petit rire, puis répondit a sa réponse tellement philosophe :

- Je t'aiderais si tu veut.

Elle me regarde dans un sourire légèrement amusé, elle me dit :
- Atreiyu.
Mes joues rosissent, j'ai un sourire désolé. J'ai presque envie de lui dire que je le savais, c’était juste pour la faire marcher.
- Je t'aiderais si tu veux, me fait-elle en riant.
Aider à quoi ? Ah oui, mon sac. Je lui souris.
- Merci, ce serait.. gentil.

Sa lui faisait rire qu'il est oublié son nom. Même si il était compliquer elle devait l'admettre.

- Merci, ce serait.. gentil.
- De rien.

Ils arrivèrent devant l'arbre. Atreiyu s'assit contre le tronc laissant comme même une place a Alpha. Elle regarda le ciel, la pluie n'allait peut être pas être longue elle serais comme même assez violente...

Je m'assoie à côté de.. Aritayu ? Raah.. Je soupire, me traitant d'imbécile. Je fixe le ciel. J'espère que mon sac n'est pas dehors.. Je soupire une nouvelle fois.
Un éclair transperce le ciel, me faisant sursauter. J'aime bien les orages, c'est beau je trouve. Je sourie légèrement et je pose ma tête sur l'écorce de l'arbre. Le grondement du tonnerre se fait enfin entendre, l'orage est loin, nous avons aucun risque de se faire griller par la foudre, nous pouvons que apprécier le spectacle.

Il s'assoit. Il a l'air d'aimer le spectacle. Un éclair surgi et il sursaute, Atreiyu rit. Elle s'étire et se transforme en louve pour éviter de tremper ses affaires qu'elle met sous son ventre, elle se couche et pose la tête sur ses pattes, sa longue queue noir a coter d'elle, presque sur Alpha. Elle regarde de ses yeux rouge les nuages noir, et les éclairs transpercer le ciel. Puis elle ferme les yeux, se temps... Elle aime fermer les yeux.

https://www.youtube.com/watch?v=Vo_0UXRY_rY

Plus rien se dit, elle se change en loup, je n'ai pas cette joie (ou malheur non ?). Les poiles de sa queue me frôlent la jambe. Je regarde le ciel, c'est beau, je trouve, les éclaires. L'orage se rapproche vite, il est bien connu que la vitesse de l'orage est grande. Je souris. Je ne veux rien raté de ce spectacle divin.
Dieu a réussi à mettre toute la beauté du monde dans un orage, pourtant, je crois bien que je ne suis pas croyant. Je soupire, que c'est compliquer d'avoir perdu la boule.. Je tapote ma tête contre le tronc. J'en ai presque oublier Atraiyu.

Je sursaute en la voyant sauter sur un pauvre petit animal, je blanchis légèrement et détourne le regard.

Pauvre petit oiseau, il avait peu être une famille, des amis ! Oula, faudrai que je me calme moi.. Je papillonne des yeux et je me remets à fixer le ciel, si beau et coloré. Il n'est pas noir, il a plusieurs teintes de gris avec un peu de rouge. C'est beau. J'ai un petit soupire, on se sent faible face à un spectacle d'une telle ampleur.

En regardants le sol, Atreiyu remarque.. UNE ARAIGNÉE !!!! Elle saute sous l'eau. Elle déteste les araignée ! Elle se remet sous l'arbre, faisant la gueule par ce qu'elle était tremper. Elle se met derrière le tronc, laissant monsieur s'éclater avec son "orage spectaculaire"
L'orage passe, elle regarde les nuage s'écarter du soleil, elle regarde toujours le sol, énerver et se re transforme en humaine..

Je ne comprend pas comment elle peut avoir peur d'un araignée, c'est mignon une araignée. Je la fais valdinguer d'une pichenette, Atreiyu revient,trempée. J'ai un sourire amusé. Je reporte mon attention sur l'orage qui se calme petit à petit, pour enfin laisser place à un ciel bleu. Je soupire et je tourne mon regard vers Atrai.. mon dieu, elle est complétement nue ! Je rougis vivement et je détourne le regard.
- Ha.. habilles toi s'il te plait..
Moi, la nudité me pose aucun problème mais quand c'est un femme, jolie en plus !

Je suis aussi rouge qu'elle, je fixe un point devant moi. Ne pas la regarder, ne pas la regarder, ne pas la regarder.. je me répète en boucle dans ma tête, le ciel est bleu, les oiseaux chantent.. ne la regarde pas... Un silence mal à l'aise s'installe entre nous.

Un grand blanc se forme... Personne ne parle, la journée avance... Après un long silence je déclare :

- Ton sac ne vas pas se retrouver seule..

Je ne pouvais rien dire d'autre... Je regarde, mon pantalon, la tête toujours dans les bras, attendant que quelque chose se passe. Je rigole a penser a quelque chose je me dit :

Sa aurais était drôle si je l'avais embrassé ! Il y aurais encore plus un gros big blanc !

Je souris, et me met presque a rire. J'ai toujours des idée chelou et bizarre.

- Ton sac ne vas pas se retrouver seule..
Je sursaute. Oui, c'est vrai ça. Je me lève lentement, j'ai mal au dos. Je n'ose toujours pas la regarder, mes joues sont roses. J'ai l'impression que le chant des oiseaux se moque de moi, je me demande aussi que si avant ma perte de mémoire, j’étais comme ça, tout timide, bizarre, rougissant. Je soupire en me pinçant l’arrête du nez.
Après deux minutes de réflexion, je réponds :
- Oui.. le dernier endroit dont je me souviens, c'est.. un cerisier.
Et là, je suppose qu'il y a une quinzaine de cerisiers dans la régions, je soupire.

Elle sait où ce trouve ce fameux cerisier, il n'y en a donc pas un quinzaine ici. J'ai un soupire de soulagement.
- Et tu sais, sa fais longtemps que je me suis habillé. Ta peur de me regarder ou quoi ? me dit-elle, amusée, en me faisant une pichenette sur le nez.
Je rougis vivement et je me frotte mon nez douloureux. J'emboite la pas, fixant sa queue qui se balance de droite à gauche. Mais comment fait-elle ? Je soupire, une profonde jalousie grimpe en moi, une jalousie de qui ? juste pour une transformation. Et pourquoi, moi, je n'arrive pas à me transformer seul ? Je souffle en gonflant les joues. Je brise le silence qui s'est de nouveau installer :
- Hm.. dis moi, ta.. meute ? elle pourra m'aider à me... enfin, à pas perdre contrôle lors des pleines lunes ? C'est possible ça ?

Elle me répond dans un charabia incompréhensible, je cligne des yeux.
- Euh.. oui.
Bon, on va faire comme si j'avais compris, je lui souris et je marche à ses côtés, en silence, comme toujours.

- Sinon, t'as quel age au faite ?
Je crois qu'elle essaye d’engager la conversation, ça va être dur, je ne me souviens de rien, juste mon nom. Je la regarde, désolé.
- Je.. je ne sais pas, excuse moi.
Puis je rajoute, tentant l'humour :
- EN tout cas, j'ai pas une tête de vieux de 50 piges !

- On diras que t'as environ... 23 -24 ans ? elude-t-elle, puis, après un sourire, elle fait :- Et.. Tu te rappel le jour de ton anniversaire ?
Je secoue négativement la tête. Mes yeux se brouille et je fais, la voix, comme l'esprit, lointaine, perdu dans mes pensées, je fais :
- Je me souviens juste d'un visage et.. et un paysage.
Je bascule ma tête en arrière et je fixe le ciel un moment, tout en décrivant le paysage :
- Un petit village, dévaster. Il y a des.. pas des soldats, des mercenaires, ils volent les femmes, empilent les enfants dans un camion et tuent les hommes. Soudain, des coups de feu de font entendre, les mercenaires tombent comme des mouches. Après, le visage de la femme se tourne vers moi et me dis quelques chose dont je ne me souviens pas et.. le noir. C'est tout.
Je la regarde maintenant avec un sourire gêné.
- Je ne veux pas te déranger avec mes problèmes..