L’aire été tiède, humide et on sentait que l’orage venait tout juste de partir pour laissai place à un ciel plus clair. La terre sous mes pattes été gorgé d’eau comme si après de longue semaine de soleil, elle avait été gavé d’eau au point d’en être constitué. Les bruit de la forêt été surpassé par le grondement de la rivière qui voulait devenir fleuve pour noyer toute vie en dehors de son lit. Je chassais, dans l’environnement le plus merveilleux qui soit. En effet, les nuances de vert été telle quelle me faisait presque perdre la piste de la proie que je traquais, cela allé faire six heures maintenant que je la poursuivais, la rattrapant puis la laissant prendre du terrain, la vessant croire qu’elle pouvait m’échapper. Je la repérais sans grandes difficulté car elle laissé quelque poil accroché à un buisson ou encore des traces de sabot dans la terre humide. La mise à mort ne devrait plus tarder car le cerf commencer a montré de sérieux signes de fatiguent. Je me réjouissais d’avance de pouvoirs plongés mes crocs dans sa chair tendres. De plus, vue sa taille je pourrais la gardé pour moi ou laissé la meute se servir dessus. J’accélérer le mouvement et vis enfin ma proie. S’était un jeune cerf mais qui était exceptionnellement gros, voire énorme. Un instant j’envisagé de l’attaqué seule, puis réflexion faite autant ne pas être blessé à l’aube d’une guerre. Je poussa un hurlement aigue pour appeler Sally. Elle adoré chasser et ne devrait pas mettre plus d’une ou deux minute avant d’arrivé. Je continuer la chasse, puis entendit enfin un hurlement venant de Sally qui vessait réponse au mien. L’étrange alchimie de la chasse opéra et d’un seule coup il ni avait plus moi, Nyra et sally mais un seul et même esprit dans deux corps. Sans la voir, je savais exactement se quelle vessait et où elle voulait allait. La proie n’avait aucune chance. Le cerf ne vit rien et ne sentis rien avant que Sally lui tombe dessus et se mit à batailler contre la force centrifuge. Moi de mon côté, j’attrapai le cerf par le cou et planta mais croc dans l’aorte et serra jusqu’à ce qu’il titube et tombe sur le côté laissant la vie s’échapper de son corps. Sally me regarda un instant avant d’ouvrir le vendre du cerf et lui arracher le cœur. En tant qu’alpha elle avait droit au meilleur. Elle releva sa tête rougis et me regarda. Je vis dans ces yeux de la surprise avant qu’elle se précipite vers la grande muraille. Comprenant pourquoi elle venait de laissait une proie aussi importante, je la suivis en espérant, de tout mon cœur, mettre trompé…