Je marche tranquillement dans la ville de la Lune. Je sais très bien que je n'ai pas le droit, mais j'ai des choses à faire. Et pis après tout, je suis libre de faire ce que je veux maintenant. Je boite à cause de la blessure sur ma cuisse qui ne s'est toujours pas soignée. Aujourd'hui, je me sens particulièrement faible. Normal mon poussin, c'est que TU es faible. Aurais-tu mangé un clown Klaus ? parce que c'est entièrement TA faute si je suis blessé. Ca se voit que tu n'as pas vu l'état des chasseurs mon poussin... Il me projette un amas sanguinolent dans mon esprit, les restes des deux présumés chasseurs. Braconniers, me rectifie Klaus avec un ton de premier de la classe. N'essaye pas d'être intelligent, NIQUEULOSSE.
On s'insultait mentalement lorsqu'un cri-aigu-féminin nous fait sursauter tous les deux. Une furie Blonde atterrie dans mes bras je-ne-sais-comment, me braillant dans les tympans.

(J'arrive Zilouchette. (: )

Ah... [nom de la ville que je connais toujours pas.] petite bourgade paumée avec aucune vrai boutique, VDM. Un soupire s'echappe de mes levres delicates. Mon Londres natal me manque enormement, mes amis aussi... Je ne connais personne ici, et je suis comme transparente. Tout d'un coup une personne que je connais tant bien apparait dans mon champ de vision, je pousse un petit crie de joie comme je sais bien les faire et je me precipite dans ses bras, il me rattrape de justesse.
- Neal ! Tu m'as tellement manqué! Je suis arrivée dans la meute de la lune, comme tu m'as dis, mais tu n'y etais pas! Je... j'ai cru que tu etais mort Neal... ne me refais plus jamais ça.
Ma voix se brise en fin de phrase. Les gens nous regarde bizarrement, j'ai eu crié un peu trop frot... Je reste pendu au cou de Neal. Nous donnons l'image d'un couple qui vient de se retrouver après une longue separation. Neal est comme dans mes souvenir, toujours aussi beau... je rougis a cette pensee.

(Olala, je n'ais pas vu l'heure, j'ai 15minute pour allée a Gali'... a ce soir, petite veinarde!)

( Moi j'ai fini mon stage )

J'arrive à traduire les paroles, ponctué par un énorme accent londonien :
- Neal ! Tu m'as tellement manqué! Je suis arrivée dans la meute de la lune, comme tu m'as dis, mais tu n'y etais pas! Je... j'ai cru que tu étais mort Neal... ne me refais plus jamais ça.
Elisabeth. Je reconnais son odeur de fraise, je me souviens soudainement que je lui avais dit de venir ici que sous urgence. Je blanchis légèrement et je serre contre bras, ignorant les regards des passants. Elle ne sent pas le sang, elle n'est pas blessée. Je demande, tendu :
- Eli-chérie, tu n'es pas blessé ? Que fais tu ici ? Je t'avais dit de venir ici que sous cas d'urgence...
Je caresse doucement sa joue peau de pêche, un peu inquiet. Elle devient de plus en plus belle en vieillissant, je l'embrasse doucement sur le front. Je lui explique pourquoi je ne suis plus dans la meutre :
- J'ai eu quelques différents avec la chef, ne t'inquiète pas ma Chérie, elle est gentille. Mais promet moi une chose, si une guerre est déclarée, fuis à l'adresse numéro deux, oh, et garde la pour toi.
Je la ressers une nouvelle fois dans mes bras.

(Donneuse. u.u)

Apres ma longue tirade, Neal me serre dans ses bras, il se souvient de moi. Il sent le bois de feu, j'aime cette odeur sauvage qui lui va a merveille, je le respire. Il m'a manqué. Soudainement, il me demende avec tention:
- Eli-chérie, tu n'es pas blessé ? Que fais tu ici ? Je t'avais dit de venir ici que sous cas d'urgence...
Je suis un peu contente qu'il s'inquiete pour moi. Il caresse ma joue du bout de son doigt uis il m'embrasse sur le front. Il m'explique:
- J'ai eu quelques différents avec la chef, ne t'inquiète pas ma Chérie,
elle est gentille. Mais promet moi une chose, si une guerre est
déclarée, fuis à l'adresse numéro deux, oh, et garde la pour toi.
Il me serre un deuxieme fois dans ses bras, mon coeur se serre avec. Une Guerre. Neal plus de la Lune. Mais qu'est ce que je vais faire?n Je lui réponds enfin, cherchant mes mots pour ne pas le mettre en colere:
- Pere m'a... renvoyée de la maison... et.. voila...
La colere apparait sur son visage seduisant. Je me mords la leve et fais pressipitament :
- Mais tu sais, ils ont un heritier normal maintenant, et puis se ne me gene pas... tant que tu es la...
Ma fin de phrase est dite tout bas, j'en rougis.

Elle me répond enfin :
- Père m'a... renvoyée de la maison... et.. voila...
La colère s'empare de moi. Après s'être mordu la lèvre, elle rajoute avec précipitation :
- - Mais tu sais, ils ont un héritier normal maintenant, et puis se ne me gène pas... tant que tu es la...
Elle devient rouge tomate, je me contente d'un sourire froid.
- Élisabeth, tu es parfaitement normal et je vais tuer ton père.
Moi, ou le Roi de la subtilité.

[pas fini]